[JDR] titre en réflexion

Cela faisait déjà deux semaine que Krovax avait décidé d'aller purifier le nid de vampire qui térifiait la région et risquait de discréditer la race des vampires. Mais anvant il devait traverser cette satanée forêt, il avait déjà croisé plusieurs brigant qui lui servir de 4h ainsi qu'une belle comptesse partie a la chasse avec son amant qui fit un délicieux repas. Mais au fur et à mesure qu'il s'enfoncé dans la forêt les rencontres se faisaient de plus en plus rare.
Soudain un éclaire de lumière blanche l'aveugla. Ses sens de vampire lui indiquère l'apparition d'un forme de vie qui lui était inconnue avant qu'il n'ai recouvert la vue. Quand sa vue revien il découvrie une superbe jeune femme complètement nue, elle avait cependant de petites cornes sur la tête de drole de petite ailes dans le dos.
Après quelque instant elle paru reprendre ses esprit et s'adressa a Krovax :
"Bonjour, pouriez vous m'indiquer ou je suis et ou je pourait trouver un bon glacié?"
Krovax fut quelque peut déconcerté par cette question surtout qu'il ignoré ce qu'était un glacier"
"Vous êtes en Aldria dans la région de Verienne. Je m'appelle Krovax ancien seigneur des ténèbres"
" Moi c'est Annechat, je vien de.... de.... je ne sais plus trop en faite...."
Atéré par tant de simplicté il hésita un instant a en faire son repas mais quelque chose lui dit qu'elle n'était pas comestible. Il décida donc de lui proposer de venir avec lui car la lumière qui précéda son arivé lui rapela celle qui précéda le départ de son vielle ami Alucard. Il lui fit dont d'un arc et d'un carquois, être nues ne semblai pas la déranger et Krovax apréciais cette état de fait. Et il se remire en route.

[HRP] Bon vous vous en doutez le but c'est que chacun introduise son personnage, vous pouvez introduire des combat ou autre[/HRP]

Nioutte grattait le sol de la forêt, fourrant les glands dans sa besace, lorsqu'elle entendit venir de loin un voyageur fanfaron qui sifflotait ses propres faits d'armes... elle se glissa dans un creux de terre formé entre les racines d'un chêne, afin de pouvoir écouter le danger passer sans être repérée.

Pute borgne !, s'exclama-t-elle !

[i]L'éclair de lumière envahit même sa cachette... sans toutefois l'aveugler. Mûe par la cuiosité, elle ne put s'empêcher de glisser un œil au dehors... et vit le balourd en train de se faire embobiner par une jeune femme qui usait de ses atouts, tout en jouant l'innocente.

Les hommes !

Nioutte passa la main sur son absence de poitrine, se disant que si elle survivait jusqu'à la puberté, cela lui donnerait un outil de survie en plus.
La femme ayant déjà embarqué le pauvre voyageur, elle se faufila jusqu'au lieu de la rencontre, se disant que peut-être, dans la surprise, l'homme aurait pu laisser choir quelque chose d'intérêt.

Zul'Abar se balladait dans la forêt, à la recherche de plantes bien précises, il avait eu le loisir de faire quelques expériences, et il pensait pouvoir créer un breuvage des plus puissants. Tout aurait pu se passer tranquillement si il n'était pas tombé sur deux brigands qui voulurent le détrousser. Ricanant devant leur frêle proie, ils l'encerclèrent, confiants.

"Bon ptit mec file nous ton blé, et on essaiera de pas trop te casser!"

Mais il ne fallait pas sous-estimer le génie du petit gobelin. Il farfouilla dans sa besace et en sortit une fiole remplie d'un liquide verdâtre. Avec un sourir aux lèvres, il la lança sur l'humain qui lui faisait face. Le verre se brisa, et la mixture toucha l'homme de plein fouet, immédiatement celui-ci hurla et s'écroula, alors que l'acide brulait une partie de son visage. Zul'Abar se retourna vers le deuxième voleur.

"Bin alors? Tu viens pas te battre toi? T'es vraiment une tantouze..."

Immédiatement son adversaire dégaina une dague, et se jeta sur le petit être vert. Celui tenta une esquive, mais son esprit était légèrement embrumé par l'alcool qu'il avait absorbé, et il trébucha, tombant sur le dos, les jambes en l'air. Cependant cette chute lui permit d'esquiver l'attaque, de plus, sa jambe droite percuta avec force l'entre-jambe du malheureux brigant qui s'écroula.

S'epoussetant les vêtements, le gobelin se releva tout fier de lui.

"J'vous avait prévenu! Moi il faut pas m'chercher!"

Puis il continua sa route, à la recherche des plantes tant convoitées.